Petit exercice de style : qu’est-ce qui se cache au fond de nos (vrais) sacs ?
Au fond du sac à main
Le sac à main : offert par ma môman l’année dernière et cherché pendant très très longtemps avant de le trouver dans une petite maroquinerie à Versailles. Il est hyper pratique avec ses compartiments comme un petit cartable, pile à la taille du bullet journal et de l’iPad.
Le bullet journal / le smartphone / le lecteur mp3 : ce sont mes indispensables, mes « sans-eux-je-suis-bonne-à-faire-demi-tour ». Avant le bullet journal Leuchtturm1917, c’était l’agenda Moleskine. Mais maintenant, convaincue que je suis, ce sera bujo et puis c’est tout. J’y commence des listes de livres à lire ou d’idées pour des formations à venir. Procrastinatrice que je suis, il m’aide à garder une forme de « contrôle » sur mon temps. Je sais, c’est étrange mais ça marche. J’ai toutes mes super applis sur mon smartphone : SNCF (oui, il vaut mieux surtout quand on habite en banlieue…), Evernote, Slack, WordPress, Pocket, Trello et, euh, Candy Crush :p Et puisqu’on en est au rayon des aveux, je ne lis presque jamais dans les transports en communs, excepté le jeudi quand je prends le RERC et que j’ai 35-40mn sans changements devant moi. Et le soir je suis tellement claquée qu’un jeu avec des bonbons est souvent le max que je puisse me permettre. Sur mon lecteur mp3 je retrouve aussi des séances de méditation (qu’il m’arrive de faire debout coincée comme une sardine dans le métro).
Le gros paquet de feutres : sans eux, comment survivre, hein ? 😉 Beaucoup de Pentel touch (dont la pointe du feutre est un pinceau), quelques Faber Castell, un porte-mines Moleskine et un gros crayon de couleur multicolore pour surligner.
Le portefeuille « pochette » : pour gagner de la place et vider au max les cartes de fidélité (l’appli Stocard sur smartphone m’a sauvée de ce côté-là)
Les clefs USB : j’en ai toujours plusieurs dans mon sac, on ne sait jamais ! A vrai dire j’en ai retrouvé deux autres après avoir pris la photo.
L’incontournable sac « Monop' » en tissu : pour faire mes courses évidemment (et parfois il me sert aussi à balader les thèses d’exercice de médecine d’un site de l’université à l’autre). Là aussi j’en ai plein avec plein de motifs différents (je crois qu’après ce billet je vais aller prendre rdv chez un psy…).
La trousse de secours : contre les bobos en tous genres et pour survivre dans la jungle urbaine. Et de quoi machouiller et manger parce qu’on sait jamais. Si je me retrouve coincée entre les gares de Meudon et Chaville à 21h je pourrai toujours manger un truc aux algues…
Les « pass » : Navigo et carte d’accès aux bâtiments de l’Université. Sans elles je suis également bonne à rentrer chez moi.
Les bidules : les badges qui en disent long, les morceaux de bijoux, les clefs de chez moi et du boulot et tout un tas de bazar qui est resté dans mon sac sous prétexte que Sac à Dos a fait une photo super propre juste en dessous et que moi j’allais me taper la honte. Laissez donc libre cours à votre imagination.
Au fond du sac à dos
Le sac à dos : j’avoue avoir eu comme cadeau une très belle sacoche en cuir. Mais la vie lyonnaise m’ayant amené à me déplace en vélo, le sac à dos s’est révélé plus pratique car il me permet de garder un meilleur équilibre. Mais promis, je reviendrai à quelque chose de plus classe quand je changerai de région.
Le PC portable : élément indispensable à l’Enssib, pour prendre des notes et travailler de manière autonome. J’ai privilégié le faible encombrement à une taille d’écran plus grand et ce 2-en-1 HP me convient plutôt bien (même s’il est déjà passé une fois au SAV depuis le début de l’année, grrr…). Il me permet aussi de m’habituer à Windows 10 et de tester les services de cloud du fait de sa faible mémoire. Mais bon, un OS Androïd et un écran légèrement plus grands m’auraient aussi bien convenus.
La pompe à vélo : voir le point 1. Elément indispensable pour tout cycliste qui se respecte.
Le livre : celui-ci concerne mon mémoire sur les systèmes d’information recherche, car je cherche à étendre ma connaissance de ce que peut apporter une meilleure gestion de l’information à une organisation. Mais généralement, je suis plutôt porté sur les romans, notamment les polars scandinaves en ce moment.
Plein de petites choses : toutes les personnes qui prennent les transports en commun ou qui marchent me comprendront. Ce ne sont que des éléments indispensables pour alléger les problèmes les plus urgents : un parapluie (abîmé, j’ai toujours tendance à perdre les neufs), une boîte pour mes capsules de café, des mouchoirs, une lingette pour lunettes et des aspirines. Le casque est l’élément complémentaire du téléphone. Ce dernier m’est devenu indispensable pour prendre des photos, naviguer sur les réseaux sociaux, regarder les emails qui tombent et écouter la radio ou des podcasts. En tant que France Inter addict, j’écoute entre autres Un Jour en France, La Tête au Carré, Le Masque et La Plume, Si Tu Ecoutes J’annule Tout et La Marche de l’Histoire.
Des cahiers : Faut-il le dire ? Depuis que je fréquente Sac à Main, j’ai multiplié les cahiers pour prendre des notes et sans m’en rendre compte. Sur cette photo, il y a le petit carnet (recyclé d’un coffret de livres de cuisine) qui me sert pour ma ToDo List (j’adore noter les choses que je ne fais jamais), le Moleskine vert pour les notes sur le mémoire, le carnet de papier recyclé pour les brouillons, le grand cahier bleu pour les notes prises en cours. Auxquels vous pouvez ajouter le carnet pour noter les lectures mais qui reste à la maison.
Des pochettes : Organisez, il en restera toujours quelque chose. Ma passion des chemises/pochettes va ici éclater au grand jour. J’adore faire plein de petits dossiers, sans tenir compte de leur couleur. Il y en a une pour les supports de cours, une pour l’anglais (la noire de la photo), une pour les documents administratifs, une pour les papiers personnels (la verte de la photo) et une pour le mémoire. C’est lourd, mais au moins je ne suis pas perdu dans tous ces documents.
Et vous, vous cachez quoi dans vos sacs ?